La journée mondiale de la santé mentale, c’est le 10 octobre, chaque année. Mais la santé mentale, c’est un sujet du quotidien : prendre soin de soi et des autres, ce n’est pas qu’une fois par an, c’est une attention portée jour après jour.
Aborder ces sujets reste délicat, et les problèmes psychiques sont encore trop stigmatisés, et stigmatisant pour les personnes qui en souffrent dans notre société. Les personnes concernées par ces troubles ou pathologies sont déjà en souffrance. En poursuivant l’ouverture et en rendant possible l’échange sur ces sujets, on peut déjà reconnaître la souffrance des personnes concernées et ne pas venir amplifier leur détresse.
Alors parlons-en, car les chiffres sont déjà hauts et en augmentation.
Les coupures relationnelles engendrées par la crise liée à la COVID et les contextes actuelles (géopolitiques, économiques, écologiques et sanitaires) favorisent le développement des états anxieux et dépressifs. Ceux-ci sont observés dans le monde de l’entreprise, dans les écoles et les milieux étudiants.
Que pouvons-nous faire à notre échelle ?
- Tout d’abord, porter de l’attention aux signaux faibles que nous détectons chez nos proches, dans la sphère professionnelle et privée.
- Ecouter
- Dialoguer avec bienveillance
- Orienter vers un professionnel médical (médecin, psychiatre) et/ou un professionnel de la relation d’aide (psychologue, psychothérapeute, coach)
- Se soutenir
Prenez-soin de vous et de vos proches